Un choc social et économique par la fiscalisation des prestations de sécurité sociale et la disparition du paritarisme.
Une règle simple serait posée : la protection sociale ne pourrait dépasser 30% du PIB. Les cotisations pesant sur le travail ne pourraient dépasser 10% du PIB. Le solde doit être financé par l’impôt. On choisira par exemple la TVA sociale et la CSG.
Cette diminution forte des cotisations de sécurité sociale donnera une bouffée d’oxygène aux entreprises épuisées par la crise.
Dans le même temps, un audit complet des systèmes paritaires sera mené pour les simplifier au maximum et éviter la constitution de corps intermédiaires dont la représentativité est discutable.
L’utilisation intelligente du numérique permettra de gagner en efficacité de gestion pour un meilleur service rendu aux assurés sociaux et en maîtrise de la dépense.